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Thèse de Doctorat
DOI
https://doi.org/10.11606/T.8.2009.tde-23042009-161008
Document
Auteur
Nom complet
Mariana Cecilia de Gainza
Adresse Mail
Unité de l'USP
Domain de Connaissance
Date de Soutenance
Editeur
São Paulo, 2009
Directeur
Jury
Chaui, Marilena de Souza (Président)
Morfino, Vittorio Guglielmo Franco
Safatle, Vladimir Pinheiro
Santiago, Homero Silveira
Vieira Neto, Paulo
Titre en portugais
Espinosa: uma filosofia materialista do infinito positivo
Mots-clés en portugais
Determinação
Expressão
Infinito positivo
Materialismo
Negação
Resumé en portugais
A leitura que Hegel fez da ontologia espinosana teve uma influência maiúscula em gerações inteiras de leitores, que leram Espinosa a partir da representação hegeliana de suas supostas virtudes e defeitos. O efeito mais evidente da força que teve essa interpretação foi a difundida tendência a classificar Espinosa como um filósofo idealista. E isso, por sua vez, derivou em que importantes expoentes do pensamento crítico do século XX ignorassem seus aportes, por julgá-lo parte de uma tradição alheia às aspirações de emancipação com as quais se identificaram diversas filosofias logo da fundação teórica que a obra de Marx significou. Pretendendo abrir diálogos, a partir de Espinosa, com autores mais ou menos associados com a tradição dialética, defendemos a legitimidade de uma leitura da Ética sob uma perspectiva materialista. Como pensar a singularidade e a história no interior de uma filosofia da imanência que se sustenta sobre a afirmação da existência eterna de uma única substância infinita? Enquanto a ontologia espinosana coloca, em primeiro lugar, a existência de uma única substância absolutamente infinita, toda uma tradição de leituras da qual Hegel formou parte fez da questão relativa à determinação dos seres finitos o eixo da crítica ao espinosismo. A dificuldade para compreender a peculiar concepção espinosana da totalidade (enquanto substância), da efetividade que realiza (causalidade imanente), e das formas diversas de realidade, de produção e de determinação que a constituem (atributos, modos infinitos e modos finitos) foi, então, uma fonte prolífica de polêmicas em torno a um problema que poderíamos sintetizar assim: qual é a forma mais apropriada de pensar a determinação no interior de uma totalidade infinita? Uma leitura materialista da concepção espinosana do infinito positivo é necessária para responder essa questão.
Titre en français
Espinosa: une philosophie matérialiste de l'infini positif
Mots-clés en français
Expression
Infini positif
Matérialisme
Négation
Resumé en français
La lecture qu'Hegel fit de l'ontologie spinozienne a eu une influence majeure sur des générations entières de lecteurs, qui ont lu Spinoza à partir de la représentation hégélienne des supposées vertus et défauts de celui-ci. L'effet le plus évident de la force qu'a eue cette interprétation fut la tendance commune à classifier Spinoza comme étant un philosophe idéaliste. Tendance qui a dérivé au point que des figures clefs de la pensée critique du vingtième siècle finirent par ignorer ses apports. Et cela parce qu'il était jugé comme faisant partie d'une tradition étrangère aux aspirations d'émancipation avec lesquelles diverses philosophies se sont identifiées, à partir des nouvelles fondations instituées par l'oeuvre de Marx. En prétendant ouvrir des dialogues, à partir de Spinoza, avec des auteurs plus ou moins associés à la tradition dialectique, nous défendons la légitimité d'une lecture de l'Éthique dans une perspective matérialiste. Comment peut-on penser la singularité et l'histoire au sein d'une philosophie de l'immanence qui s'appuie sur l'affirmation de l'existence éternelle d'une unique substance infinie? Tandis que l'ontologie spinozienne pose, en premier lieu, l'existence d'une unique substance absolument infinie, toute une tradition de lecteurs dont fit partie Hegel a fait de la question relative à la détermination des êtres finis l'axe de la critique au spinozisme. La difficulté à comprendre la conception spinozienne, assez particulière, de la totalité (en tant que substance), celle de l'effectivité qui réalise (la causalité immanente), ainsi que celle des différentes formes de réalité, de production et de détermination qui la constituent (les attributs, les modes infinis et les modes finis) fut alors une source prolifique de polémiques autour d'un problème que nous pourrions résumer ainsi: quelle serait la manière la plus appropriée de penser la détermination au sein d'une totalité infinie? Une lecture matérialiste de la pensée spinozienne de l'infini positif s'avère nécessaire afin de tenter de répondre à cette question.
 
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MARIANA_DE_GAINZA.pdf (1.47 Mbytes)
Date de Publication
2009-04-23
 
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